A Bigger splash : Un film qui oscille entre documentaire sur un artiste sur une periode de sa vie. celle de sa rupture avec son amant et modele et de l'influence de cette separation sur son oeuvre. Une peinture d'un milieu elitiste, d'un microcosme ou la majorité des humains ne sont pas concernés. Un film avant gardiste assez difficile d'accès, car il n'y a pas vraiment de trame ni d'histoire à proprement parlé. En fait j'ai compris ou le film voulait en venir grace au dernier dialogue du film, au bout d'1h40 de projo, ce qui crée une sorte de suspense. Pouahaha, sinon oui, j'avoue, j'ai un peu manqué de m'endormir en baillant aux corneilles, en me demandant ce que ça voulait bien dire. Sinon ce film conceptuel dans sa forme à la photographie soignée, les images sont tres belles, est fascinant sur son aspect, et le lien qui unit les personnages aux cotés du peintre que l'on retrouve sur ses peintures. C'est un film artistique sur l'art et un artiste, et sur les affres de la creation, un temoignage sur les 70's. Donc oui, le film vieillit bien une fois vu, meme si pendant, c'est pas toujours evident à suivre. Mais maintenant que je sais de quoi ça parle, et bien le reverrai sans doute, et je pense mieux l'apprecier à la 2eme vision. En plus comme j'aime bien ce que fait Hockney pour avoir vu certains tableaux dans des galeries d'art contemporain. le seul truc qui m'a un peu deplu dans le metrage, c'est cete musique un peu pompe derche trop presente et repetitive. Sinon c'est particulier, c'est sur, mais le film merite bien son statut de film culte des 70's, ou à l'epoque c'etait osé de voir des quequetes à l'air, des culs et des garçons qui s'embrassent. L'interdiction aux moins de 18 ans est maintenant levée, le film est tout public. Il passe actuellement au MK2 Beaubourg à Paris, à Lille, et à Lyon. Je sais, c'est peu. cote :
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En haut : L'affiche originale
bas gauche : le tableau eponyme
bas droite : La nouvelle affiche