Précision importante : il n'est pas nécessaire de comprendre quoi que ce soit à ce message pour pouvoir jouer...
Les calculs sont fondés sur des bases suffisamment logiques pour que les joueurs puissent jouer de manière instinctive.
DÉFINITIONS
La qualité du film est calculée comme suit :
- budget technique coefficient 3
- qualité de la prestation des acteurs principaux coefficient 2 (chacun)
- qualité de la prestation des acteurs secondaires et du réalisateur coefficient 1 (chacun)
- scénario [vote des joueurs] coefficient 0 dans les parties "hardcore", coefficient 1 dans les parties "normal", coefficient 12 dans la parties funs
Le préjugé d'un spectateur est calculée comme suit :
Même calcul que pour la qualité mais ce n'est pas la qualité de la prestation des artistes qui est pris en compte, mais la moyenne de ses prestations passées (si le spectateur n'a jamais vu l'artiste, ça donne une note très faible, d'où l'importance de la notoriété même si l'artiste n'est pas génial).
La qualité apparente du film est calculée comme suit :
C'est la moyenne entre la qualité du film et la qualité de la bande-annonce.
CALCUL DE L'ENVIE D'UN SPECTATEUR
Un spectateur peut apprendre qu'un film existe par quatre manières. Chacune de ces manières lui donne une impression différente du film :
- La publicité (affiche et bande-annonce). La chance pour qu'un spectateur voit la publicité dépend de la diffusion (choisie par le joueur). L'impression donnée est égale à la qualité apparente du film.
- Les interviews. Un artiste fait d'autant plus d'interview qu'il est connu. L'impression donnée est la moyenne des prestations passée, vues par le spectateur, de cet artiste. Si le spectateur ne l'a jamais vu la note est très faible, ceci dit il reste en général intéressant de faire des interviews car mieux vaut qu'un spectateur de plus soit averti que le film existe (et ait une chance de le voir, même s'il ne connaît pas l'artiste) que pas du tout.
Note sur les guest star : la seule et unique influence des guest stars est d'intervenir dans les interviews. Une guest star est donc intéressante surtout si elle est connue. Attention cependant, si vous avez déjà une forte promotion, la remarque ci-dessus "mieux vaut qu'un spectateur de plus soit averti que le film existe" atteint ses limites ! Si vous engagez des guest stars dont la qualité n'est pas vraiment reconnue, leurs interviews peuvent couler votre promotion ! En bref, une guest star est utile si elle est connue et si elle a une bonne réputation.
- La critique dans les média. La diffusion dépend directement de la série du film (Série Z, B,...) et est indiquée sur la page d'analyse de la promotion au niveau de"critique". L'impression donnée est la qualité du film.
- Le bouche à oreille. Chaque spectateur ayant vu le film va parler à un autre spectateur de ce film. L'impression transmise correspond à la qualité du film modifiée par le jugement du spectateur qui a vu le film.
Un spectateur peut avoir vent du film par plusieurs des moyens ci-dessus. Dans ce cas l'impression retenue est la moyenne : Publicité + Interviews + Critique (coef 2) + Bouche à oreille (coef 4).
Dans tous les cas, au final, on fait la moyenne entre cette impression et le préjugé du spectateur pour connaître l'impression finale. L'envie du spectateur d'aller voir le film est la somme de cette impression finale et d'un nombre aléatoire (depuis la version 1.13, ce nombre aléatoire dépend pour moitié du genre du film).
DÉTERMINATION DU OU DES FILMS VUS PAR CHAQUE SPECTATEUR
Chaque semaine un spectateur va aller voir entre 0, 1 ou plusieurs films.
Pour chaque spectateur les films à l'affiche qu'il n'a pas encore vu sont classés dans l'ordre décroissant de leur envie. On prend le premier film est on compare son envie à une sorte d'envie plancher en dessous de laquelle il n'ira de toutes façons voir le film sous aucune condition (mais l'envie d'aller voir le film peut évoluer avec le bouche à oreille). Plus l'envie du spectateur est grande par rapport à cette envie plancher, et plus il y a de chance pour que le spectateur trouve le temps d'aller voir ce film durant la semaine.
Si le spectateur ne va pas voir ce film, il ne va pas en voir d\'autre.
Si le spectateur va voir ce film, on prend le film suivant dans sa liste de préférence, et on compare son envie d'aller voir le film à l'envie plancher qui a été relevée entretemps (il est plus difficile de trouver le temps d'aller voir deux films dans la semaine). Et ainsi de suite. En pratique un spectateur n'ira jamais voir plus de 3 ou 4 films dans la semaine.
Chaque spectateur voyant le film donne 1$ de revenu.