Modérateur: Maitre de Jeu
Vivien Guards a écrit :Superprod avec un genre à 20% préféré des spectateurs, si tu as mis les 6 millions de pubs, et si le film a des critiques correctes, tu vas passer les 18 millions sans problème
Maxime Fiodor : Terry Fillion, je suis ravi de votre présence au micro de Breaking Movies. Vous avez commencé votre carrière au cinéma à l'âge de six ans, c'est très jeune, quel regard portez-vous sur votre enfance ? Terry Fillion : En effet, j'ai démarré ma carrière très jeune, mais j'ai eut la chance d'être très entouré par mes parents qui veillaient à ce que ma carrière n'envahisse pas trop ma vie. Ils ont toujours tenu à ce que je reste un enfant comme tous les autres, malgré ma carrière dans le cinéma. J'ai donc eut une enfance comme la plupart de ceux de mon âge, à l'exception près que de temps en temps je me rendais sur des plateaux de tournage. Mais ça en restait là. Je ne participais pas à la promotion des films etc... Maxime Fiodor : Y a t-il une expérience de tournage qui vous a particulièrement marqué ? Terry Fillion : Le tournage de Thibault, de Misterdada Studio, est un de mes meilleurs souvenirs. Le rôle que j'y interprétais était assez dur, et au début je n'avais pas pleinement conscience de ce qu'il représentait. Mais au fur et à mesure du tournage, j'ai petit à petit compris l'histoire de cet enfant, qui m'a particulièrement touchée. J'étais très fier d'y participer et c'est à ce moment là que j'ai été définitivement convaincu que je voudrais exercer ce métier plus tard. Maxime Fiodor : Lors de votre adolescence, vous vous êtes tourné vers les films d'animations, pourquoi ce choix alors que plusieurs grands studios vous courtisaient pour des grands rôles de fiction ? Terry Fillion : L'adolescence n'est pas un âge facile, et une étape difficile dans une carrière d'acteur. J'ai donc préféré prendre du recule par rapport au cinéma. Et puis il y avait mes études que je priorisait par rapport au reste. Le tournage d'un film d'animation est plus facile pour un acteur, car il n'y a pas de préparation de costume, de maquillage etc... C'était donc pour moi un bon compromis pour pouvoir continuer ma carrière d'acteur sans que ça ne demande trop d'implication. | Maxime Fiodor : La semaine dernière sortait Le Génie du Crime (*) qui signe votre grand retour au cinéma, êtes-vous heureux de ce rôle proposé par Morcar Prod ? Comment envisagez-vous votre carrière dorénavant ? Terry Fillion : Très heureux ! C'est un rôle ambigüe qui m'a beaucoup plu dès la lecture du script. Ce personnage qui se cache à lui-même et à ses amis son homosexualité, et qui semble cacher d'autres choses encore était très intéressant à interprêter, et très différent de ce que j'avais joué jusque là. J'espère qu'avec ce rôle les producteurs vont désormais me voir autrement qu'un enfant. Je suis encore jeune, mais je pense pouvoir jouer de nombreuses choses très différente de ce que j'ai fait jusque là dans ma carrière. Maxime Fiodor : Vous avez également intégré le casting de Wave Girl, le prochain film de super-héros de Morcar Prod, Pouvez-vous nous en dire plus sur cette actualité ? Terry Fillion : Je vois que vous êtes bien informé (rires). En effet, je serai à l'affiche de ce prochain film qui doit rester assez secret. Il s'agit d'une nouvelle héroïne du genre pour les studios Morcar Prod, sans être non plus totalement nouvelle. J'ai été ravi de donner la réplique à Lisa Edwards, qui joue le rôle principal. Maxime Fiodor : C'est le moment de faire un appel du pied aux autres maisons de productions, y en t-il qui vous intéressent particulièrement ? Terry Fillion : Toutes ! Ce sont surtout les projets qui m'intéressent, et toutes les sociétés de productions ont des projets attirants. J'aime la diversité du cinéma de Gérardmerveille, et j'espère pouvoir profiter de celle-ci pour jouer des rôles très différents les uns des autres. Maxime Fiodor : Allez, une dernière question... sur votre vie privée ! Y a t-il quelqu'un dans votre vie en ce moment ? Terry Fillion : Eh non ! Désolé de vous décevoir mais je suis seul pour le moment. Je n'aurai donc pas grand chose d'intéressant à vous dire sur ma vie privée. (*) Info Box-Office : Le Génie du Crime, dernier film de David Ponthieux, va prochainement dépasser les 16 millions d'entrées. Ce beau succès critique et public lance magnifiquement la carrière de Terry Fillion, nous attendons avec impatience ses prochaines prestations. |
SadMo Prod a écrit :Très bonne interview !
L'ESPION, LE BOULET ET LES FEMMES FATALES un film de Maurizio Gira - produit par Pitbull Productions. Ce drôle de film réalisé par Maurizio Gira fut fort bien accueillit par les critiques professionnels où peu de comédies parviennent à avoir ce genre de louanges. Et en plus, on peut pressentir en lui un lauréat du prix de la future meilleure comédie 2028 aux GM Awards. Bonus : - Commentaires du réalisateur, Maurizio Gira, pendant le visionnage du film ou non. - Commentaires des acteurs. - Bande originale du film. - Scènes coupées. - Bandes annonces de "Galactic Western : Ending Legend", "Sufferings Of The Dark Guardian" et "Les Aventures de Skype". |
COUNT TO TEN un film de Julia Cummings - produit par Boost Films. La superproduction dramatique produite par Boost Films, fut un immense succès dans les salles. Approcher les 20 millions d'entrées à un moment où le genre fut peu apprécié était un véritable défi que seul un film aussi brillant pouvait relever. Et cela donne de l'ampleur à la carrière de Julia Cummings. Bonus : - Making-off du film - Interview de Kim Birdnam & Laïla Drexler - Confidences singulières de Sean Bright dans son premier grand rôle - Documentaire "Le compte à rebours d'un film dramatique" par Stan Olinger, responsable du genre dramatique au sein de Boost Films Production - Conception de la bande originale du film - Séquences du casting des artistes - Scènes coupées au montage et fins alternatives selon le point des divers personnages (Ed Ballister, Martha Jenkins etc ...) |
CORRUPTED un film de Kat Hana et Simon Tang - produit par Morcar Prod. Le troisième long-métrage du duo Kat Hana/Simon Tang marquait les sorties estivales de l'année 2028. Ce film est un beau résultat en terme de direction des comédiens et de mise en scène. La bande-originale de Bernd Molchany fut éblouissante également. Bonus : - Interview de Kat Hana et de Simon Tang. - Visite guidée dans les décors du film. - Séance de répétition des dialogues avec Miles Baccarin et Dorothy Parker. - Scènes coupées. - Bande originale du film. |
Anna Lake : Frank Miletone, vous vous êtes fait remarquer grâce à votre style bien particulier, un mélange d'horreur et de tragédie dans votre écriture, est-ce cela qui a séduit vos producteurs ? Frank Miletone : Love Machine m'a fait comprendre qu'elle attendait de moi un univers très personnel avec une forte charge esthétique. Mes bandes-dessinées ont ce caractère, presque expressionniste, d'un univers qui séduit autant qu'il fait peur. Les Films du Cyborg sont connus pour ce goût bizarre du cinéma et je pense que c'est ce point commun qui nous a fait nous rencontrer. Anna Lake : Pouvez-vous nous parler de la génèse de Cronenberg Street ? Frank Miletone : Et bien comme vous pouvez l'imaginer, je suis un fan des oeuvres de David Cronenberg, de son univers fait de chair et de technologie. Cronenberg Street met à profit cette fascination pour son oeuvre mais surtout elle lui donne une nouvelle texture en la mêlant à ma propre imagination. C'est une hybridation filmique, voilà tout ! Anna Lake : Comment est pensée la franchise ? Que pouvez-vous nous dire sur le deuxième volet qui sort prochainement ? Frank Miletone : J'ai délibérément choisi de changer totalement de personnages à chaque volet. Cela me permet de tout reconfigurer autour de l'axe majeur de la saga dont le sujet est : l'imagination. Je vais continuer à m'amuser à semer le trouble entre nos deux univers aux travers de personnages plutôt paumés, au bord du gouffre, mais avec un fort caractère. Le deuxième volet, Nouvelle Chair, a comme protagoniste un camé de l'insecticide qui va travailler comme portier pour un laboratoire louche. J'ai pris énormément de plaisir à écrire des scènes cheap et gore tout en injectant des idées affreuses comme la mutation entre un homme et un animal. Anna Lake : Êtes-vous content du casting ? Frank Miletone : Ah oui! Axel Winthorp et Jessica Ponthieux sont tout simplement délicieux dans leur rôle respectif, j'ai beaucoup aimé le résultat de l'incarnation des personnages. Anna Lake : Pour finir, votre prochain projet est un autre film d'horreur qui sera mis en scène par Maurizio Gira, c'est la consécration pour vous ? Frank Miletone : Les Films du Cyborg me permettent de travailler avec de grands artistes. Déjà, le travail de Katrina Debney sur Cronenberg Street est une aubaine pour moi. Et ce projet avec Maurizio Gira est la cerise sur le gateau. J'espère que ce film plaira au public. |
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